rassemblement des militants de l'AESA LA UNE AFRIQUE 

AES: Pourquoi des africains craignent pour le développement?

Pourquoi parler de lutte libératrice pour les pays africains francophones irrite certains et dont des chefs d’état? Pourquoi certains africains craignent que l’AES est un danger pour le développement?

Nous avons la chance que cette lutte n’est pas armée, mais intellectuelle, sinon il allait avoir des milliers de morts. Les micros-états qui sont d’avance fragilisés par des frontières séparatrices, ne peuvent rien contre l’oppresseur, l’impérialisme et comme certains participent aux complots contre tout développement, si nous avons des courageux qui s’en détachent il faut bien les encourager.

Le noir africain est le seul être au monde qui accepte la piqûre du moustique et est incapable de le tuer pour recevoir le paludisme et mourir puisqu’il n’y a rien dans les hôpitaux pour le soigner et quand on leur propose des solutions salvatrices pour se protéger contre ce fléau, ils se complaisent dans leur servitude volontaire. Que faire d’un tel peuple qui a en son sein, ses propres inconscients et préfèrent plaire aux occidentaux identifiés comme étant les sources de toutes les souffrances des noirs.

En quoi, certains présidents de la zone mortifère de la CEDEAO tentent de trouver des attaques contre les trois pays de l’alliance du Sahel, parce qu’ils ont décidé de rompre avec ce machin?

Seul on est nocif, mais nombreux, on est forts, mais c’est quoi le problème de ces présidents africains comme citoyens de cette Afrique souffrante et dont ses guides la livrent à la vindicte populaire et à la servitude. Mais de grâce, tel que c’est parti, les trois pays de l’alliance du Sahel méritent soutien et encouragement et toute la population africaine doit voir en ces actes courageux, singer et se rapprocher d’eux afin qu’ensemble la lutte atteigne tous les pays colonisés et former enfin un grand bloc que de se diversifier.

Si la CEDEAO doit se réunir pour faire le constat de son vide, c’est son affaire.

Comme promis par le président burkinabè Ibrahim Traoré, que d’autres décisions sont en attente, nous sommes pressés de les entendre. Ce qui est sûr, parmi ces surprises, nous attendons leur monnaie et déjà, sur les réseaux sociaux, on nous présente des spécimens de leur passeport. 

Si on n’essaie pas de sortir de ce joug français, qui le ferait pour les africains? Pour ceux des africains qui croient que leur bonheur est de rester sous la souffrance infligée par la France et qui désirent rester dans ses jurons, ils sont libres, mais, qu’ils ne tentent pas de brouiller cet élan.

Trois pays sont sortis de ce truc de la CEDEAO et nous osons croire que les autres suivront et il faut qu’ils soient nombreux pour former un grand bloc car ce n’est qu’à ce prix, que l’Afrique comptera dans les concert des grandes nations.

Savez-vous qu’au Niger, la matière dont on se sert pour fabriquer les fusées, les bombes, électro-ménagers, les batteries des voitures électriques, on les trouve sous le sous-sol ? Ce qui veut dire qu’unis, l’Afrique aura aussi ses propres armements de protection?

N’arrêtez pas ce progrès notable et surtout, la vigilance et la prudence de ce côté de ces trois pays unis afin qu’ils aillent jusqu’au bout car c’est la victoire qui attire les plus faibles et de toutes les façons ceux qui se mettent au travers de ces avancées, ne sont pas éternels.

                      Joël ETTIEN  

   Directeur de publication : businessactuality.com

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